Nous avons tendance à penser qu’une île est souvent synonyme d’endroit paradisiaque avec des plages de sable blanc et une eau de mer cristalline et turquoise. Pourtant, il existe plusieurs îles dangereuses qui n’inspirent pas vraiment à une grande aventure de rêve.
L’île de Queimada Grande
Située à une trentaine de kilomètres de São Paulo, au sud-est du Brésil, l’île de Queimada Grande est le grand spot des serpents endémiques « Jararaca-ilhoa ». Surnommé « île aux serpents », cet endroit abrite la population de serpents la plus abondante du monde. À la plage, sur le sol, sur les arbres, ils seront, sans faute, au rendez-vous. En plus d’être nombreux, ces reptiles font également partie des espèces les plus venimeuses partout dans le monde.
L’île de North Sentinel
Vue de loin, l’île de North Sentinel a toutes les caractéristiques d’une île paradisiaque entre ses belles plages, ses lagons et sa jungle luxuriante. Mais comme son nom l’indique, cette île est le territoire des Sentinelles, une tribu isolée depuis plusieurs siècles. Comme la plupart des peuples vivant en autarcie, les Sentinelles sont extrêmement territoriales et xénophobes. Tandis que la société moderne accueille les étrangers avec le sourire, cette population, elle, les fait entrer sous une pluie de flèches.
L’île de Thilafushi
L’île de Thilafushi est l’une des îles les plus sales du monde, bien qu’elle se trouve au centre d’une des principales destinations touristiques mondiales. Située aux Maldives, elle est surnommée « l’île poubelle des Maldives », car elle sert de dépotoir aux atolls environnants. Environ 330 tonnes de déchets sont jetées chaque jour sur l’île de Thilafushi. La plupart d’entre eux sont déversés par des bateaux-poubelles et restent malheureusement à l’air libre sans être traités. Au vu de la situation environnementale actuelle, cela représente un grand danger pour l’île et surtout pour la population locale des Maldives.
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